vendredi 12 novembre 2010

Elisa Tovati --- 9 MOIS

DECOUVERTE MUSICALE

Merci à Elisa Tovati : 9 MOIS ( Grossesse et son Conjoint...)

jeudi 21 octobre 2010

Le saviez-vous?

Le Saviez-vous?

ALLAITEMENT MATERNEL :

Le Fonds mondial pour la recherche contre le cancer recommande que les mères allaitent leurs enfants au moins jusqu’à l’âge de 6 mois.

En effet, d’après les résultats d’études cliniques, l’allaitement maternel semble protéger la mère contre le CANCER DU SEIN et l’enfant contre le SURPOIDS et l’OBESITE.


Accoucher à domicile, quels sont les risques ?










www.elle.fr// Marie Bazet


D’où vient ce désir d’accoucher à domicile ?

Les candidates aimeraient avoir une sage femme rien que pour elles, à l’écoute de leur corps, de leur besoins et, surtout, de leurs envies. Or, en maternité, même si elle fait de son mieux, une sage-femme suit en moyenne deux ou trois femmes en même temps.

L’ADD est-il légal ?

Oui et non. Une femme peut décider d’accoucher chez elle, mais la sage femme qui l’assistera risque un problème d’assurance, celle-ci ne couvrant souvent que les accouchements pratiqués sur un plateau technique, c’est-à-dire dans un établissement hospitalier. En cas de problème, la sage-femme peut ne pas être assurée professionnellement. « La moindre des précautions est donc de s’assurer que la sage-femme est bien couverte, attestation de son assurance à l’appui », conseille Me Philip Cohen, avocat spécialisé en droit médical.

Comment se passe un accouchement à domicile ?

Certaines conditions doivent être remplies pour que la sage-femme libérale accepte la prise en charge de l’AAD : la grossesse doit notamment être « physiologique », avec un seul bébé, et ne pas présenter de risque majoré de complications. La sage-femme arrive en général au moment des contractions de travail ou après la rupture de la poche des eaux. Elle doit avoir prévu le transfert vers une unité de soin en cas d’urgence et la façon de s’y rendre (voiture perso, Samu etc.). Enfin, elle est non seulement présente pour l’accouchement, mais elle assure aussi les suites de couches.

Quel est l’avis des professionnels ?

- Le CNFS (Collège national des sages-femmes), prudent, rappelle que l’AAD « est un choix personnel aussi bien pour les parents que pour les sages-femmes qui le pratiquent ». C’est pourquoi le Collège soutient particulièrement les sages-femmes libérales qui ont signé une convention avec les maternités : cet accord leur permet d’accoucher les femmes qu’elles suivent sur les plateaux techniques, sans l’équipe médicale (tant que tout va bien). « Ces accords sont malheureusement trop rares », regrette Frédérique Teurnier, présidente du CNSF.

- Le CNGOF ( Collège national des gynécologues et obstétriciens français) parle, lui, carrément, de « retour en arrière pour la sécurité des femmes » et rappelle que, « même quand tous les facteurs de risques ont été éliminés, on n’est pas à l’abri d’une complication ».

Quel est le plus gros risque ?

Le problème de proximité est le plus important, car on a rarement le temps de se rendre à la maternité pour pratiquer une césarienne en urgence ; des risques non négligeables subsistent pour la mère (hémorragies, surtout) comme pour l’enfant (cordon qui sort en premier, présentation problématique du bébé, souffrance fœtale…).
Même dans les grandes villes, les maternités ne sont en général pas averties de l’éventuelle arrivée en urgence de la mère et/ ou du bébé.
Bref, les parents qui optent pour l’AAD doivent prendre toute la mesure de leur décision et accepter un risque résiduel imprévisible, et quelquefois fatal, de complication pour la mère ou le bébé.

Les alternatives à l’AAD

- Se renseigner très tôt pour repérer les maternités plus « humaines », qui proposent massages, baignoires (pour soulager les contractions)…

- Choisir une maternité qui possède un espace physiologique (appelé aussi groupe ou maison de naissance). La femme profite du côté cosy des lieux et d’un accompagnement personnalisé pendant toute la grossesse et jusqu’à la fin du travail. Elle ne se rend que sur le plateau technique attenant que pour accoucher.

- Pour les frontalières, accoucher dans une maison de naissance à l’étranger peut être une solution, mais attention aux problèmes de prise en charge par l’assurance maladie.

mercredi 1 septembre 2010

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vendredi 16 juillet 2010

Un bébé après 40 ans !

Phénomène : un bébé après 40 ans!

"A plus de 40 ans, c'est super-confortable"

Samantha et Claudine se sont rencontrées dans un café de leur quartier, grâce au patron qui les a présentées : entre « vieilles mères », elles devaient avoir des choses à se raconter. Le mot « vieilles » les fait sourire. Claudine avait 45 ans, Samantha 40 ans, toutes deux enceintes jusqu’aux yeux de leur premier enfant. Profitant pleinement de ce moment, après des années consacrées à des carrières intenses et à une vie sociale bien remplie. Leurs histoires pourtant n’ont rien à voir : célibataire, Claudine est tombée enceinte sans l’avoir voulu ; de leur côté, Samantha et son mari essayaient depuis trois ans d’avoir un bébé et avaient réussi grâce à une fécondation in vitro (FIV). Leurs fils sont maintenant des super-copains de jeu. « Je n’ai pas eu à réfléchir longtemps avant de décider de le garder, se souvient Claudine. Deux heures de panique où je me suis dit : cela n’arrivera pas d’autre fois, je le garde, c’est un don du ciel. Je l’ai un peu imposé au père, mais on a trouvé un mode de fonctionnement qui nous convient. » Plus jeune, elle a mis fin à d’autres grossesses non désirées. Mais pas une seconde elle ne le regrette : « Entre 25 et 45 ans, j’ai fait tout ce que j’avais envie de faire, j’ai voyagé, j’ai gagné pas mal d’argent sur les marchés financiers, j’ai fait plein de choses avec mes potes. Avoir Merlin à 45 ans, je trouve ça super : je n’ai pas l’impression de sacrifier quoi que ce soit, je suis plus patiente, parce que moins stressée, et j’ai une certaine aisance financière qui facilite les choses. » Samantha est d’accord, à plus de 40 ans, « c’est superconfortable ». Même si, pour en arriver là, elle a dû se battre. Elle a rencontré son mari à 35 ans. Le temps de profiter de leur amour, de se marier, deux ans ont passé. « Tout cela me paraissait normal. » Mais quand ils ont voulu avoir un enfant, très vite, on les a orientés vers une fécondation in vitro. « J’avais une obsession, de la puissance d’un rouleau compresseur : avoir un enfant. » Enceinte de jumeaux, elle en a perdu un, décédé in utero à six mois de grossesse. Mais « la grossesse a été tellement magique que je suis retournée dans le bureau du médecin pour en faire un deuxième ». Re-FIV, re-grossesse gémellaire, avec complication. Mais, grâce un « suivi par des équipes formidables », un second fils est né. Elle avait 42 ans.

Sources : www.elle.fr // Dossier réalisé par Isabelle Duriez